Belgique

Citations extraites de films français

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La Totale

Le bonheur c’est le somnifère de l’amour.

Intouchable

Pas de bras, pas de chocolat.

Moi j’ai été élevé dans l’idée qu’on pissait sur le monde.

L’avantage avec un tétraplégique c’est que tu le retrouves où tu l’as laissé…

Michel Vaillant

Parfois, pour gagner, il faut savoir perdre.

L’enquête Corse

Je connais tous les chemins de mon pays.

Le fabuleux destin d’Amélie Poulain

Rater sa vie est un droit inaliénable.

Monsieur, quand le doigt montre le ciel, l’imbécile regarde le doigt.

C’est l’angoisse du temps qui passe qui nous fait tant parler du temps qu’il fait.

Comme quoi, une femme sans amour c’est comme une fleur sans soleil, ça dépéri.

La vie n’est que l’interminable répétition d’une représentation qui n’aura jamais lieu.

Sans toi les émotions d’aujourd’hui ne sont que la peau morte des émotions d’autrefois.

Vous au moins vous ne risquez pas d’être un légume puisque même un artichaut a du cœur.

C’est drôle la vie.
Quand on est gosse, le temps n’en finit pas de se trainer et puis du jour au lendemain on a comme ça 50 ans.
Et l’enfance, tout ce qu’il en reste, ça tient dans une petite boite.
Une petite boite rouillée…

Le premier jour du reste de ta vie

La famille est une machine à broyer les sentiments.

On s’entend pas. On s’entend plus. En fait, on s’est jamais entendu.

Je serai jamais à la hauteur parce que j’ai fait la connerie de te placer beaucoup trop haut.

Parce qu’un jour, t’auras tellement de trucs à faire demain, que le reste de ta vie n’y suffira pas.

Je me souviens d’un commentaire d’un de tes professeurs sur ton carnet de notes : « A touché le fond… mais creuse encore ! »

L’immortel

Le sang versé ne sèche jamais.

Podium

On va leur mettre le feu.
Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier.

Qu’est ce que t’espérais ?
Une petite vie tranquille ?
Avec un mari sans maîtresse ?
Tu mérites mieux que ça mon ange.

Reviens Véro c’était juste un petit coup de biiitte.

Un coeur qui bat, un nez qui flaire, une décision qui tombe, c’est ça Bernard Frédéric.
Vous apprendrez à me connaître…

Écoute-moi bien, Monsieur « y’a du choix ».
Tu vas me mettre de la viande, et avec un « S » à viande.
Et tu peux prévenir le chef que Bernard Frédéric à l’intention de camper ici.
Et si je suis malade, je suis malade chez toi.
J’ai fait Bernard Frédéric toute ma vie, j’aurai aucun mal à faire Carlos une nuit…

Georges Brassens ?
Le moustachu qui fait rimer « couille » avec « nouille » ?
J’ai perdu ma couille au fond du ravin…

Le prénom

On est dans le non-pardon ce soir…

Qui porte du orange ? A part à Guantanamo…

On comprend pourquoi les bédouins mangent sans leur femme…

Alors moi, je vais prendre mon aigreur, ma tristesse et ma rancune et toutes les quatre on va aller se coucher.

Le dîner de cons

Il a une belle tête de vainqueur.

Qu’est-ce que vous faites mercredi prochain ?

Ne m’invitez jamais à un dîner, j’aurais toujours un doute.

La classe mondiale, peut-être même le champion du monde.

Vous faites peine à voir, on dirait un cheval qu’a raté une haie, on vous abattrait sur un champ de course.

Je suis épuisé, moi… c’est horriblement fatiguant d’être intelligent…
Je ne sais pas… il faudra que j’essaie…

Il s’appelle Juste Leblanc…
Ah bon… il a pas de prénom ?
Je viens de vous le dire, il s’appelle Juste Leblanc…
???
Leblanc c’est son nom et c’est Juste son prénom…
???
Monsieur Pignon, votre prénom à vous c’est François, c’est juste ?
Oui…
Et bien lui c’est pareil, c’est Juste…
???
Bon… on a assez perdu de temps comme ça…

Les bronzés font du ski

Je crois que je vais conclure…

Je ne sais pas ce qui me retient de te casser la gueule…
La trouille peut-être ?
Ouais… Ça doit être ça…

Vous avez de la pâte ?
Vous avez du sucre ?
Avec la pâte, vous faites une crêpe et vous mettez du sucre dessus.

Ecoute Bernard, je crois que toi et moi on a un peu le même problème.
C’est à dire qu’on ne peut pas tout miser sur le physique… Surtout toi…
Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c’est d’oublier que tu n’as aucune chance.
Vas y fonce.
On ne sait jamais.
Sur un malentendu, ça peut peut-être marcher.

Le Père Noël est une ordure

C’est c’lâ, oui…

Ca dépend, ça dépasse…

Figurez-vous que Thérèse n’est pas moche.
Elle n’a pas un physique facile…
C’est différent…

C’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim…

Croyez-moi, homme en retard, liaison dans l’tiroir.

Vous êtes marié ? Vous ne vous êtes jamais disputé ?
Oui mais jamais à coups de fer à souder.
Ben, c’est parce que vous n’êtes pas bricoleur.

Je n’aime pas dire du mal des gens mais effectivement elle est gentille…

Je ne vous jette pas la pierre, Pierre, mais j’étais à deux doigts de m’agacer…

Et la fameuse recette des doubitchous :
Je vous ai apporté, c’est un cadeau de mon pays.
Je vous ai apporté doubitchou…
C’est comme des truffes en chocolat…
Ce sont les fameux doubitchou de Sofia…
Ca n’est que des bonnes choses, hein…
C’est du cacao de synthèse avec de la margarine et de la sacarose…
C’est une fabrication artisanale, c’est fait à la main, roulé sous les aisselles…

Verdict

Le manque de preuves n’est pas une circonstance atténuante.

Chouchou

Tu me manques comme une épluchure peut manquer à son orange, la pluie au parapluie, le chocolat aux petits enfants…

Mr Nobody

Tout fini par s’arranger… Même mal…

Tant que tu ne choisis pas tout reste possible.

Chaque vie est la bonne.
Le chemin qu’on emprunte est toujours le bon chemin.
Tout aurait pu être n’importe quoi d’autre.
Et cela aurait eu tout autant de sens.

Tu es le premier et le dernier amour de toute ma vie.

La vie est une cour de récréation, sinon, elle n’est rien.

Je n’ai pas peur de mourir, j’ai peur de ne pas avoir assez vécu.

Pouvoir renoncer à toutes les vies possibles pour n’en vivre qu’une.

On ne peut pas revenir en arrière ; ce n’est pas facile de choisir, il faut faire le bon choix…
Tant qu’on ne choisit pas, tout le reste est possible…

À mon âge les bougies coûtent plus cher que le gâteau.
Je n’ai pas peur de mourir, j’ai peur de ne pas avoir assez vécu.
Il faudrait marquer en grand sur tous les tableaux des écoles du monde : la vie est une cour de récréation sinon elle n’est rien…

Gazon maudit

Moi je crois qu’on n’a qu’un seul amour dans la vie, un seul.
Les autres c’est des répétitions.
Des fois on sait pas que c’est celui-là et on le rate.
Des fois on le sait, mais c’est pas réciproque.
Et puis des fois, c’est l’accord parfait.
Et c’est le plus dur à vivre.
Et quand c’est celui-là, ne le rate pas.

La belle histoire – Claude Lelouch

Il y a des vies pour apprendre à s’aimer et des vies pour s’aimer vraiment.

Il faut 39 vies pour aimer quelqu’un, 26 pour le comprendre et une seule pour le trahir.

Qui cesse d’être un ami ne l’a jamais été, et plus mon cœur y pense et plus il est blessé,
On n’accuse jamais sans quelque peu mentir, mais je ne pardonne pas à qui m’a fait rougir.

Tout ça pour ça – Claude Lelouch

Une qualité c’est un défaut qui sait se rendre utile.

L’avantage avec les jolies femmes, c’est qu’on vous en débarrasse très très vite.

Itinéraire d’un enfant gâté – Claude Lelouch

Et le bonheur alors, c’est quoi ?
C’est quand les emmerdes se reposent… et là, il faut faire attention à ne pas les réveiller…

Hommes, femmes, mode d’emploi – Claude Lelouch

Le pire n’est jamais décevant.

Tais-toi

Si je comprend bien le type le plus con de votre asile a réussi à enlever le type le plus dangereux, c’est pas un peu insolite, ça ?
Je suis psychiatre depuis 20 ans, alors moi, l’insolite…

Dites, vous pourriez pas m’en débarrasser ?
Euh… il est con…
C’est un asile de fous, pas un asile de cons.
Il faudrait construire des asiles de cons, mais vous imaginez un peu la taille des bâtiments…

Le samouraï

Il n’y a pas de plus profonde solitude que celle du samouraï sinon peut-être celle du tigre dans la jungle.

Chat noir, chat blanc

La mort est éternelle, peu importe quand elle commence…

Si tu n’obtiens pas ce que tu veux avec de l’argent, tu peux l’obtenir avec beaucoup d’argent !

Marius, Fanny, César

Il est grand ce petit…

Tu me fends le cœur…

Rien n’est irréparable, Marius.

L’honneur, c’est comme les allumettes, ça sert qu’une fois…

Quand on fera danser les couillons, tu ne seras pas à l’orchestre !

La mort, c’est tellement obligatoire que c’est presque une formalité.

Si on ne peut plus tricher avec ses amis, c’est plus la peine de jouer aux cartes.

Il se peut que tu aimes la marine française… Mais la marine française te dit merde…

La femme du boulanger

Cocu est un mot pour les riches.
Moi, si ça m’arrivait, je ne serais pas cocu, je serais malheureux.

C’est arrivé près de chez vous – Benoït Poelvorde

Reviens gamin, c’est pour rire.

Qu’est-ce t’attends, peau d’couille ? Le ressac ?

Des vieux pauvres, ça n’existe pas. Radins, oui. Pauvres, non.

C’est la guerre Jérôme, c’est eux ou c’est toi, c’est manger ou être mangé, eat or to be eat.
That’s the question.

Une larme de gin, une larme.
Une rivière de tonic…
Et ensuite la p’tite victime, composée d’une petite olive, d’un p’tit morceau d’sucre et d’un p’tit bout d’ficelle.
Et nous avons : Le P’tit Grégory…

Un petit quidam ça ne fait pas de vagues…
Tu tues une baleine, t’auras les écolos, Greenpeace et le Commandant Cousteau sur le dos.
Mais décime un banc de sardine, j’aime autant te dire qu’on t’aidera à les mettre en boîte…

Tour à tour finaud, tour à tour polisson, tour à tour gangster, mais tour à tour généreux.
Quelque soit le montant que tu me demanderas Rémi, toujours, je dis bien toujours, Benoît y pourvoira.

Coup de torchon – Philippe Noiret

Mieux vaut l’aveugle qui pisse par la fenêtre que le farceur qui lui a fait croire que c’était l’urinoir.

La cité de la peur

Madame je vous pisse à la raie.
Deray, Odile Deray…

Vous voulez un whisky ?
Juste un doigt.
Vous préférez pas un whisky d’abord ?

Qu’est ce qui y’a ? Vous êtes malade en voiture ?
Non, c’est quand je suis content je vomis, et là, là, je suis super content.

Quelle est la différence entre une moule et un pull-over ?
Bah un pull-over, ça moule et une moule, ça pue l’ovaire.

On peut tromper mille fois mille personnes, non, on peut tromper une fois mille personnes, mais on ne peut pas tromper mille fois mille personnes. Non, on peut tromper une fois mille personnes mais on ne peut pas tromper mille fois une personne. Non…

Le coeur des hommes

Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.

Écoute ma chérie, l’amour éternel a été inventé quand l’espérance de vie était de 35 ans.

Astérix : Mission Cléopâtre

Nul ne peut bafouer l’Empire Romain…
Quand on l’attaque, l’Empire contre-attaque…

Atomik Circus

Vous êtes en panne ?
Non, j’adore rentrer dans les villages en poussant ma bagnole.

Le corniaud

Je suis pas si kounkoun que j’en ai l’air…

Klaxon… Avec deux « K », comme le Youkounkoun…

Et hop ! Il l’a emballée ! Alors là… Y m’épate, y m’épate, y m’épate…

Ah bah maintenant, elle va marcher beaucoup moins bien, forcément…

Je vous en veux pas, parce que… quel voyage… Ça compte dans la vie d’un homme…

Vous dansez bien… Mais ce n’est pas ça qui me plait à vous.
Qu’est-ce que ça peut bien être ? Pas mes cheveux, non ?
Devinez…
Mes yeux, peut-être… Ma mère les trouve beaux… mais c’est ma mère.
Ce n’est pas physique…
Mon intelligence, peut-être… Mon père me trouve très intelligent… mais c’est mon père.
Ce qui me plaît à vous, c’est votre simplicité…
Ben, il manquerait plus ça, que je ne sois pas simple…

C’est pas grave…
C’est pas grave. Vous en avez de bonnes, c’est pas grave. Qu’est-ce que je vais devenir moi ?
Eh bien… piéton monsieur…

Alors, maintenant, garde bien la distance, trop près, il nous verrait, trop loin, on le verrait plus.

Messieurs, à la veille d’une grande bataille, Jules César a dit : « Je brûlerais mon manteau si mon manteau connaissait mon plan ».
Suivons l’exemple de Jules César…

Rabbi Jacob

Vous faites comme d’habitude : vous promettez tout et moi, je ne tiens rien.

La bicyclette, c’est comme la révolution, quand elle n’avance pas, elle tombe.
Eddy Merckx.
Mais non, Che Guevara.

La grande vadrouille

Il n’y a pas d’hélice hélas.
C’est là qu’est l’os…

En tout cas, ils peuvent me tuer, je ne parlerai pas.
Mais moi non plus, ils peuvent vous tuer, je ne parlerai pas.
Ah, je savais qu’on pouvait compter sur vous.

La folie des grandeurs

Un pour tous, chacun pour soi !

Ne vous excusez pas, ce sont les pauvres qui s’excusent !
Quand on est riche, on est désagréable !

Monseignor… Il est l’or… L’or de se réveiller… Il est huit or…

Les pauvres c’est fait pour être très pauvres et les riches très riches !

Dikkenek

C’est excessivement énervant.

Ou tu sors ou j’te sors mais va falloir prendre une décision…

Je suis lessivé, je suis au bout du rouleau.
Je rentre, savate et terminé bonsoir !

La première c’est pour te faire la leçon p’tit con.
La deuxième c’est pour le principe.
La troisième c’est parce que jamais deux sans trois.

Je rime et je rame comme tartine et boterham, hein comme on dit.

Je sais que je plais pas à tout le monde…
Mais quand je vois à qui je plais pas, je m‘demande si ça me dérange vraiment.

Le boulet

On the road again…

Rira bien qui rigolera vers la fin.

Alors c’est toi Moltès… Monsieur je fais peur à toute la France…

Tu vas pleurer jusqu’à c’que tu pleures et si tu pleures pas, tu pleureras quand même.

Léon

La vie, c’est comme ça tout le temps ?
Ou seulement quand on est petit ?
C’est comme ça tout le temps.

J’aime ces moments de calme avant la tempête.

La mort est capricieuse aujourd’hui…

C’était même pas ma sœur, juste ma demi-sœur…
Et pas la meilleure moitié en plus…

Ni femme, ni enfant…

Tu l’aimes ta plante, hein ?
C’est ma meilleure amie, toujours de bonne humeur, jamais de question…
Et puis elle est comme moi, tu vois, pas de racine…

Le grand bleu

Tu sais ce qu’il faut faire pour vivre au milieu des sirènes ?
Tu descends au fond de la mer très loin.
Si loin que le bleu n’existe plus.
Là où le ciel n’est plus qu’un souvenir.
Une fois que tu es là, dans le silence, tu y restes.
Et si tu décides que tu veux mourir pour elles.
Rester avec elles pour l’eternité.
Alors elles viennent vers toi et jugent l’amour que tu leur portes.
S’il est sincère.
S’il est pur.
Et si tu leur plais.
Alors elles t’emmèneront pour toujours.

Quand j’avais 17 ans, j’étais tellement amoureux que j’ai failli me suicider pour une fille.
Deux ans plus tard, je me souvenais même plus de son nom.
Crois-moi Jacques, le temps ça efface tout.